La coopération entre la Chine et l'Afrique a connu des progrès remarquables dans le domaine des énergies renouvelables. Ceci en montrant la détermination des pays en développement à exploiter l'énorme potentiel des énergies propres et à lutter contre le changement climatique.
Seyni Nafo, chef par intérim de l'unité de livraison indépendante de l'Initiative pour les énergies renouvelables en Afrique, a déclaré que l'Afrique avait le potentiel le plus élevé en matière d'énergie renouvelable, mais le moins d'accès.
Mémorandum d'entente
récemment AREI et l'Alliance Chine-Afrique pour la coopération et l'innovation dans le domaine des énergies renouvelables, a signé un protocole d'accord. Les deux parties coopéreront dans la production d'énergie renouvelable en Afrique. Les fournisseurs chinois de réseaux intelligents et les principaux fabricants d'énergie renouvelable fourniront un soutien technologique et financier.
Les projets pilotes comprennent l'aide à la construction de micro-réseaux dans certains ménages et villages africains, en combinaison avec la construction d'électricité à grande échelle.
Cette initiative devrait permettre de mieux déployer et distribuer la technologie des énergies renouvelables en Afrique. Cela fait partie des efforts de transfert de technologie de la Chine préconisés par le Programme des Nations Unies pour le développement.
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«Le protocole d'entente indique une vision commune pour lutter contre le changement climatique et promouvoir le développement durable. C'est principalement parce que l'espoir des énergies renouvelables est de fonctionner comme un pilier central de la coopération Chine-Afrique sur les questions climatiques », a déclaré Nafo.
«De plus, la majorité des pays en développement ont désormais des politiques climatiques. Le plus grand défi auquel ils sont confrontés est de mobiliser des ressources adéquates pour soutenir la mise en œuvre de leurs stratégies climatiques », a ajouté Nafo.
Le mémorandum d’accord approfondirait la coopération sino-africaine dans de nombreux domaines. Il s'agit de domaines comme le renforcement des capacités, la domestication des technologies à l'intégration du changement climatique dans les processus de développement national.
