Mise à jour du projet de modernisation du poste frontière de Beitbridge

La nouvelle gare routière de Beitbridge Border Post, qui fait partie d'un projet de modernisation de Beitbridge Border Post de 300 millions de dollars et d'infrastructures municipales de base, est actuellement testée avant ses débuts prévus mercredi prochain. La Consortium Zimborders, en collaboration avec le gouvernement, a engagé 300 millions de dollars pour l'ensemble de l'initiative de modernisation et d'amélioration de Beitbridge, qui devrait être achevée en avril de l'année prochaine. Le programme est exécuté sur la base d'une concession de construction-exploitation-transfert (BOT) de 17 ans entre le Consortium Zimborders et le gouvernement.

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Le partenariat administrera et entretiendra l'infrastructure pendant la durée de la concession, obtenant un retour sur investissement via le paiement des péages frontaliers. M. François Diedrechsen, directeur général de Zimborders Consortium, a déclaré que le projet avait été divisé en trois phases pour s'assurer que les travaux de génie civil étaient achevés sans perturber le poste frontière. Ces projets comprennent la mise à niveau d'un terminal de fret, de voiries et d'installations TIC (Phase 1), un terminal de bus (Phase 2), un terminal de véhicules légers et des travaux hors port (Phase 3). Dans le cadre de la phase 2 de la post-rénovation de Beitbridge Border, toutes les activités de construction, y compris les améliorations des TIC, ont été achevées.

Phase 3 du projet de modernisation du poste frontière de Beitbridge

La construction de la phase 3 (le terminal des véhicules légers) débutera le mois prochain et sera terminée d'ici la fin novembre de cette année. Parmi les autres projets figurent une installation de quarantaine pour l'agriculture et le bétail, un nouveau barrage d'oxydation des égouts, 220 logements pour les travailleurs frontaliers et une caserne de pompiers. Les projets d'agriculture et d'élevage seront achevés d'ici la fin de cette année, et la construction de logements sera achevée en avril de l'année prochaine. Le nouveau barrage d'oxydation avait auparavant été remis à la municipalité de Beitbridge afin d'augmenter sa capacité à résoudre les problèmes de réticulation des eaux usées.

Le poste frontière devrait transporter cinq fois sa capacité mensuelle actuelle prévue de 600,000 30 passagers, 000 15 camions commerciaux, 000 120 bus et 000 XNUMX véhicules légers une fois les travaux de génie civil terminés. En outre, les installations modernisées se traduiraient par une efficacité accrue des systèmes et des infrastructures frontalières, et elles sont en cours de construction pour s'adapter au poste frontière à guichet unique proposé entre le Zimbabwe et l'Afrique du Sud. Les déficiences de l'infrastructure, entre autres, ont été identifiées comme un obstacle majeur à la mise en œuvre complète de l'idée du guichet unique.

Contexte

La modernisation du poste frontière de Beitbridge est l'un des projets clés entrepris par la Seconde République pour promouvoir la facilité de faire des affaires et la facilitation du commerce. La construction du projet de 300 millions de dollars américains entraînera l'amélioration requise de l'infrastructure actuelle, ce qui contribuera grandement à créer une gestion efficace et efficiente du trafic pour toutes les parties prenantes et l'économie.

Le programme de modernisation se déroule en trois phases : la phase 1 concerne les travaux de pré-démarrage, la phase 2 qui concerne le développement des infrastructures aux frontières intérieures et la phase 3 qui concerne le développement des infrastructures extérieures aux frontières.

Signalé en octobre 2014

Le Zimbabwe va dépenser 100m US $ pour la réhabilitation du poste frontière de Beitbridge aux normes internationales

Le Zimbabwe a annoncé qu'il mettrait 100 millions de dollars de côté pour la construction et la réparation du poste frontière de Beitbridge afin de répondre aux normes internationales selon un ministre du gouvernement.

Les travaux de construction au poste porteront sur la construction d'un nouveau pont, la réhabilitation du pont bascule et la modernisation des systèmes de communication et de sécurité.

Le projet de réhabilitation du poste frontière de Beitbridge comprend également la modernisation du réseau routier vers et depuis le pont. L'infrastructure de contrôle des portes et la clôture du périmètre du poteau seront également réalisées. Les autres installations à moderniser comprennent les aires de stationnement, le centre commercial et les logements du personnel.
Le poste frontière sera également informatisé et ses systèmes d'éclairage seront modernisés.

«L'ensemble du projet est estimé à 100 millions de dollars et actuellement, le gouvernement n'a pas de fonds, et nous attendons avec impatience l'aide de nos pays voisins», a déclaré le ministre des Finances du pays, Patrick Chinamasa.

Le poste frontière de Beitbridge, selon le ministre, est l'un des points d'entrée les plus fréquentés d'Afrique australe, mais il continue de gêner la fluidité du trafic en raison d'installations inadéquates et doit donc être rénové pour répondre aux normes internationales.

Selon Chinamasa, le gouvernement travaille actuellement avec différentes parties prenantes de l'Afrique orientale et australe (COMESA) pour participer et aider à lever le montant nécessaire pour le projet de poste de Beitbridge.

Le projet de réhabilitation du poste frontière de Beitbridge comprendra la mise en œuvre de mesures visant à renforcer la collaboration entre le South African Revenue Service et la Zimbabwe Revenue Authority grâce à l'harmonisation des systèmes et des procédures douanières au poste frontière.

Août 2015

Discussions en vue de la rénovation du poste-frontière de Beitbridge au Zimbabwe

Négociations pour la rénovation du Frontière de Beitbridge Le gouvernement du Zimbabwe et le contractant sont en train de traverser au Zimbabwe pour améliorer son efficacité.

Afin de rendre l'installation qui n'a pas été rénovée depuis longtemps aux normes internationales, le gouvernement a identifié un entrepreneur pour travailler sur le projet - le passage frontalier de Beitbridge au Zimbabwe.

Selon le ministre du Tourisme et de l'Hôtellerie, Walter Mzembi, le gouvernement tenait beaucoup à Beitbridge et son ministère avait également été consulté sur l'avenir du pont. C'est parce qu'il s'agit d'une installation très critique qui ouvre l'Afrique du Sud au Zimbabwe et à l'Afrique subsaharienne.

Le passage de la frontière de Beitbridge au Zimbabwe impliquera non seulement la rénovation du pont, mais impliquera également de nouvelles infrastructures pour le même dans l'année à venir. Il en résultera un nouveau Beitbridge moderne et de haute technologie.

Selon le ministre des Finances, Patrick Chinamasa, environ 100m US $ seront utilisés pour ce projet.

Les travaux de rénovation sur le pont comprendront la mise en place d’un pont-bascule, la modernisation des systèmes de communication et de sécurité, l’installation de systèmes d’éclairage, l’informatisation du poste frontière et la construction d’un nouveau pont.

Ce projet comprendra également le renforcement des relations entre les services fiscaux sud-africains et les autorités fiscales zimbabwéennes (ZIMRA) en harmonisant leurs procédures douanières.

Le poste frontière, qui est la liaison de transit régionale la plus fréquentée de l’Afrique australe et subsaharienne, fait face à un ralentissement des échanges commerciaux, qui a des répercussions sur le coût de ses activités.

Les camions ont retardé le transport des marchandises vers divers pays, augmentant ainsi les coûts de transport et les prix des marchandises.

La mise en œuvre du projet relatif aux frontières de Beitbridge serait conforme au schéma directeur économique du gouvernement du Zimbabwe, le Programme de transformation socio-économique durable du Zimbabwe, présenté à 2018.

Octobre 2019

La réhabilitation des projets de modernisation de Beitbridge au Zimbabwe commence

Le gouvernement du Zimbabwe a commencé la réhabilitation des projets de modernisation de Beitbridge. Le projet, développé par ZimBorders, sera entrepris sur une période d’une année 3 et mis en œuvre sous Construire, exploiter et transférer arrangement (BOT) fonctionnant pendant les années 25.

Projets de modernisation de Beitbridge

Selon le responsable de contact du projet, M. Herkie Sandernbergh de Raubex Construction, qui a été sous-traité pour des travaux de génie civil par ZimBorders, les travaux du projet comprendront la construction de nouveaux bureaux de douane commerciaux, le pavage et l'extension des installations d'égout et de réticulation de l'eau; séparation du trafic en bus, véhicules légers, touristes et véhicules utilitaires; la construction d'un pont commercial pour relier l'Afrique du Sud, la modernisation des infrastructures clés de la municipalité de Beitbridge ainsi que la rénovation des réseaux routiers vers et depuis le poste frontière. Le poste frontière sera géré comme un partenariat public-privé entre le gouvernement du Zimbabwe et Zimborders dans le cadre d'une concession de 17 ans.

«Cependant, les principaux travaux de génie civil du projet commenceront de l'année prochaine jusqu'en 2021, date à laquelle le projet sera achevé. Pour le moment, nous voulons atténuer les défis principalement liés à la congestion pendant les périodes de pointe », a-t-il ajouté.

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Avantages

Au cours de la construction, le projet emploiera entre 300 et 400 de Beitbridge. À la fin des travaux, le poste frontière devrait être en mesure de gérer environ trois fois le trafic actuel et le flux de passagers.

Le projet contribuera également à stimuler la croissance économique et infrastructurelle de la ville. L'entrée du projet de modernisation qui gère 15 000 voyageurs, 1 500 véhicules légers, 500 camions et 100 bus par jour, aura la capacité de gérer environ trois fois le volume actuel de trafic humain et routier.

Janvier 2020

La modernisation de 241 millions de dollars du poste frontière de Beitbridge commencera en février

Les travaux de construction du projet de modernisation de 241 millions de dollars du poste frontalier de Beitbridge devraient débuter en février de cette année. Le projet devrait être pleinement mis en œuvre d'ici 3 ans, le contractant ayant déjà couvert beaucoup de terrain en ce qui concerne la logistique de préparation des travaux au cours de la première année.

Selon le gestionnaire des contrats du projet, M. Herkie Sandernbergh de Raubex Construction, le programme de modernisation se déroulait en trois phases: la phase 1, qui comprendra des travaux préalables au démarrage, la phase 2, qui comprendra le développement des infrastructures aux frontières intérieures et la phase 3, qui comprendra le développement des infrastructures à l'extérieur des frontières.

«Certains bâtiments seront démolis tandis que d'autres sont prêts à être modernisés pour s'intégrer dans la modernisation. Nous avons maintenant un délai serré de 24 mois pour terminer ce projet et à en juger par les étapes que nous avons parcourues, nous allons certainement atteindre notre objectif », a-t-il ajouté.

Certains travaux préliminaires et mineurs sont déjà effectués et les principaux travaux de génie civil débuteront le mois prochain. La première étape a consisté à minimiser les défis liés à l'accueil du trafic automobile pendant les périodes de pointe, mais il est prévu de détourner le trafic à travers la section d'exportation, afin que les travaux de génie civil sur le principal terminal d'immigration puissent être effectués. L'entrepreneur passera ensuite d'une étape de transition à la modernisation du terminal d'immigration actuel et d'autres infrastructures clés.

Poste frontière de Beitbridge

En moyenne, 200 000 voyageurs, 30 000 bus, 100 000 véhicules légers et 35 000 camions commerciaux utilisent le poste frontalier de Beitbridge tous les mois. Certains des travaux de génie civil qui relèvent du programme sont la construction de bureaux de douane plus commerciaux, le pavage et l'expansion des égouts et la réticulation de l'eau.

Les autres travaux sont: la séparation du trafic, la construction d'un pont commercial pour la liaison avec l'Afrique du Sud et la modernisation des infrastructures clés de la municipalité de Beitbridge.

Le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a jeté les bases du projet en juillet 2018.

Mars 2020

L'Afrique du Sud érige une clôture à la frontière de Beitbridge avec le Zimbabwe

Afrique du Sud Département des travaux publics et des infrastructures s'apprête à ériger une clôture à la frontière de Beitbridge entre l'Afrique du Sud et le Zimbabwe. Ceci afin de freiner la propagation du COVID-19 (Coronavirus) dans le pays, en veillant à ce qu'aucune personne sans papiers ou infectée ne pénètre dans le pays et vice versa.

Selon la ministre Patricia De Lille, cette décision n'est pas de nature xénophobe, mais plutôt de protéger les personnes entrant et sortant du pays, car les entrées sans papiers ne pourraient pas subir les contrôles de santé nécessaires. «Le département communique ces processus avec les pays voisins et les organisations telles que l'Union africaine», a-t-elle déclaré.

La barrière frontalière

40 km de clôture de 1.8 m de haut seront érigés, 20 km de chaque côté du point d'entrée de Beitbridge Land. Les spécifications sont déjà finalisées et tous les processus de gestion de la chaîne d'approvisionnement d'urgence sont entrepris; et l'entrepreneur nommé. Le chantier sera remis à l'entrepreneur le 26 mars pour commencer les travaux.

«En raison de cette situation d'urgence, mon ministère a demandé à l'entrepreneur d'augmenter considérablement le nombre d'équipes déployées et le taux de livraison décuplé», a déclaré le ministre. Le ministère a également mis en œuvre d'autres mesures pour accélérer le processus, les 40 km devant être achevés en un mois. Le coût du projet est d'environ 2.1 millions de dollars.

Mai 2021

Projet de modernisation du poste frontière de Beitbridge de 300 millions USD au Zimbabwe en cours

Le gouvernement du Zimbabwe et le consortium Zimborders mettent actuellement en œuvre un projet de modernisation du poste frontalier de Beitbridge de 300 millions de dollars américains, une initiative qui devrait multiplier par cinq la capacité du trafic humain et routier du port intérieur le plus achalandé de la SADC.

Selon Autorité fiscale du Zimbabwe (Zimra), le projet de construction entraînera l'amélioration requise de l'infrastructure actuelle, ce qui contribuera grandement à créer une gestion du trafic efficace et efficiente pour toutes les parties prenantes et l'économie.

Au total, 485 emplois devraient être créés pour les Zimbabwéens au cours des travaux de construction des 18 prochains mois.

Congestion au poste en raison du projet de modernisation du poste frontière de Beitbridge

L'autorité a déclaré que la capacité de traitement du trafic avait été considérablement affectée par les vastes travaux de construction en cours à la frontière. «Cela s'est traduit par une réduction des espaces de travail et de stationnement ainsi que des canaux de circulation. Cette réduction de capacité devrait entraîner une congestion importante et des retards dans le passage effectif de tout le trafic, en particulier le trafic en direction du nord », a déclaré l'autorité.

Les retards devraient persister au cours des six prochaines semaines, mais Zimra fait de son mieux pour accélérer le mouvement des marchandises à travers le poste frontière. «Toutes les parties prenantes sont donc invitées à en prendre note et sont par la présente encouragées à envisager, si possible, l'utilisation d'itinéraires de transit alternatifs pour éviter les retards anticipés», a ajouté l'autorité.

À l'heure actuelle, un total de 45000 3000 camions commerciaux, 10000 500 bus, 000 XNUMX véhicules légers et XNUMX XNUMX voyageurs utilisent la frontière chaque mois en temps normal, bien que le trafic de passagers ait fortement diminué pendant la pandémie.

Août 2021

La première phase de modernisation du poste frontière de Beitbridge au Zimbabwe est presque terminée

La première phase des travaux de modernisation du poste frontière de Beitbridge au Zimbabwe est presque terminée. C'est ce qu'a déclaré le vice-ministre des Transports et du Développement des infrastructures, Mike Madiro.

Le pré-démarrage et les travaux mineurs impliquent de minimiser les défis liés à la gestion de la circulation des véhicules pendant les périodes de pointe, mais il est prévu de détourner le trafic via la section d'exportation, afin que les travaux de génie civil sur le terminal d'immigration principal puissent être effectués. L'entrepreneur passera ensuite d'une étape de transition à la modernisation du terminal d'immigration actuel et d'autres infrastructures clés.

Projet global de modernisation du poste frontière de Beitbridge

Le projet global du poste frontière de Beitbridge verra la construction de nouveaux terminaux pour chaque catégorie de véhicule. Il comprendra la construction de nouvelles aires de stationnement pour véhicules et de routes de desserte. De nouveaux équipements de scannage des cargaisons seront également installés, ce qui accélérera l'inspection des marchandises et la détection des fraudes, de la contrebande et des menaces potentielles ; explosifs, substances radioactives, entre autres.

Un nouveau système TIC sera installé pour fournir des systèmes de file d'attente et de paiement automatiques aux conducteurs de véhicules. Cela réduira le déchargement manuel et l'inspection. Dans le cadre de l'accord, un nouveau complexe résidentiel sera construit pour la ville de Beitbridge, ainsi que des installations pour les commerçants informels et d'autres services gouvernementaux. Les autres services publics du projet comprennent une caserne de pompiers, des égouts domestiques, une ligne électrique domestique, un réservoir, des conduites d'eau jusqu'au réservoir, une usine de traitement des eaux usées et une station de pompage.

Le projet est mis en œuvre dans le cadre d'un partenariat public-privé avec la participation de l'État et des organismes financiers privés. Dans le cadre d'un accord de construction, d'exploitation et de transfert (BOT), Zimbordeurs récupérera ses fonds grâce à des frais d'accès aux frontières à percevoir sur 17 ans et demi, avant de remettre la propriété au gouvernement.