Les investisseurs chinois ont annoncé leur intention de construire un hôtel d'aéroport de 8.2 millions de dollars américains au Kenya près de l'aéroport international Jomo Kenyatta. Les investisseurs qui ont déjà acheté un terrain d'une valeur de 5.3 millions de dollars américains à Embakasi, à 20 minutes en voiture de la capitale Nairobi, ont déclaré avoir reçu l'approbation pour le changement d'utilisation d'industriel à commercial avant le projet de l'hôtel de luxe de six étages.
L'hôtel sera construit sur un terrain de 5.2 acres et accueillera jusqu'à 25 chambres d'hôtel standard. Le rapport d'étude d'impact sur l'environnement note que le développement proposé s'intègre et s'adapte bien aux quartiers en termes de gestion de la circulation, de hauteur, de durabilité et de qualité conformément aux lois.
Construction d'un hôtel d'aéroport au Kenya
Le développement sera situé à côté des hôtels de luxe existants, notamment le Hilton Garden Inn et le Governor Lounge and Restaurant sur la route de Mombasa. Selon les consultants du projet, l'investisseur a mis plus de deux ans pour mener des études de faisabilité avant d'acquérir une nouvelle parcelle de terrain, invoquant des difficultés à obtenir des terrains de première qualité de taille similaire. Les consultants ont également ajouté que de l'argent avait été investi dans la préparation des dessins, la préparation du travail préparatoire et la recherche des approbations du gouvernement.
Néanmoins, la Autorité nationale de gestion de l'environnement (NEMA) a donné aux citoyens un délai de 30 jours pour transmettre leurs plaintes concernant le projet avant de donner le feu vert à la révolution. Si la proposition n'est pas approuvée, le promoteur devra rechercher une autre parcelle et passer six mois à un an sur la conception, la planification et les approbations en fonction des conditions du site.
Cependant, si la construction de l'hôtel de l'aéroport au Kenya ne sera pas mise en œuvre, tous les participants, y compris les investisseurs, les entrepreneurs, les autorités locales et nationales, les fournisseurs de matériaux et les travailleurs sur le chantier, perdront les gains économiques qui auraient été obtenus pendant la phase du projet.
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